C’est en parcourant le Canada d’un océan à l’autre, en vélo solo, que la sculpture sur pierre s’est présentée à Gilles Lepage comme une réponse à une forme de recherche initiatique prenant sa source dans l’enfance. C’est la beauté d’une Elfe découverte par hasard qui inspira sa première œuvre.
Une passion est née et, depuis, celle-ci continue à grandir et se développer à même la découverte de différentes pierres récupérées ça et là. Les formes, les couleurs, les textures font éclater ses inspirations et alimentent ses réalisations. Le polissage met en valeur l’œuvre et captive l’attention de l’observateur en lui donnant envie de la toucher ou de la caresser du regard.
À ce jour ses œuvres, de plus en plus nombreuses, parlent de la nature, de la mythologie et des traditions autochtones.
L’artiste définit son style d’intuitif. Selon lui, son travail consiste à « Libérer la beauté et la lumière de la forme emprisonnée à l’intérieur de la pierre ».
À la vue de ses œuvres, plusieurs personnes oseront dorénavant unir leur conscience à celle des pierres foulées à leurs pieds afin de créer une communion et un langage avec la terre. C’est ainsi que ceux qui le souhaitent pourront découvrir le parcours initiatique de la terre mère.
De tout temps, la terre n’a-t-elle pas enseigné aux hommes ?
« Quand l’homme décide de sortir son marteau et de tailler la pierre, une lumière, une force, une énergie s’empare de son esprit pour mieux guider son geste. C’est uniquement à ce moment qu’il devient le sculpteur, l’instrument de la Création du Divin » Bertrand Roy (1952-1994).
Une passion est née et, depuis, celle-ci continue à grandir et se développer à même la découverte de différentes pierres récupérées ça et là. Les formes, les couleurs, les textures font éclater ses inspirations et alimentent ses réalisations. Le polissage met en valeur l’œuvre et captive l’attention de l’observateur en lui donnant envie de la toucher ou de la caresser du regard.
À ce jour ses œuvres, de plus en plus nombreuses, parlent de la nature, de la mythologie et des traditions autochtones.
L’artiste définit son style d’intuitif. Selon lui, son travail consiste à « Libérer la beauté et la lumière de la forme emprisonnée à l’intérieur de la pierre ».
À la vue de ses œuvres, plusieurs personnes oseront dorénavant unir leur conscience à celle des pierres foulées à leurs pieds afin de créer une communion et un langage avec la terre. C’est ainsi que ceux qui le souhaitent pourront découvrir le parcours initiatique de la terre mère.
De tout temps, la terre n’a-t-elle pas enseigné aux hommes ?
« Quand l’homme décide de sortir son marteau et de tailler la pierre, une lumière, une force, une énergie s’empare de son esprit pour mieux guider son geste. C’est uniquement à ce moment qu’il devient le sculpteur, l’instrument de la Création du Divin » Bertrand Roy (1952-1994).
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